"On exécute l'ordre , non ne lui tuez pas ,le numéro de notre pic-kup a été repéré par les jeunesdans le quartier".
《Ils sont venus dans un pic-kup me kidnappé et menvoyètent au bord de la mer, mais là où ils m'ont kidnappé c'était dans mon quartier où je suis connu. C'est des jeunes du quartier qui ont crié à mon nom et identifié vite le numéro matricule de leur pic-kup, c'est grâce à ça je n'ai pas été tué 》, a raconté Maoud Diaby dans sa mésaventure après sa sortie de la prison le week-end dernier avant de prendre la parole au nom du collectif de l'ensemble des travailleurs licenciés qu'ils sont.
Ces travailleurs licenciés de la société logistique “UMS” ne n'entendent pas baisser les bras par rapport à leurs licenciements arbitraires par les responsables de ladite société.
Par un message porté dans l'unanimité avec ses collègues, Maoud Diaby a martelé lors de son intervention qu’ils vont continuer le combat jusqu’à la satisfaction de leurs revendications. C'est aucour d'une conférence de presse qu'ils ont animée au sein de la société civile dénommée “Maison des Associations et ONG de Guinée” (MAOG).
《 Au jour d’aujourd’hui, c’est un millier de travailleurs que la direction de la société UMS a licenciés sans règlement. Si vous vous rappelez en 2018, le cas de Aboubacar Sidiki Mara, UMS a licencié 164 employés jusqu’au jour d’aujourd’hui qui ne sont pas rentrés en possession de leur règlement. Et deux semaines plus tôt, UMS a dressé une liste de congés technique de plus d’un demi-millier d’employés technique.
L’Etat doit prendre ses responsabilités, l’Etat doit assumer ses responsabilités face à ces entrepreneurs et face à son peuple 》, a déploré le président du collectif de plus de 3000 travailleurs licenciés.
Malgré plusieurs démarches menées au près des responsables de la société et au tribunal et manifestations, aucune suite favorable n'a été trouvée jusqu'à présent.
《 Il s’agira bien entendu d’organiser les sit-in devant la direction générale de l’UMS, devant le ministère de la Justice et devant le tribunal de travail. Ce sont des actions que nous avons défini et les jours qui suivent nous allons dresser les lettres comme nous sommes dans une Etat de droit, pour se conformer au loi. Mais ce qui reste clair et retenue ceci, nous n’abandonnerons pas 》 ,a t-il déclaré Alpha Bayo, coordinateur national de la MAOG.
À rappeler que ces travailleurs licenciés par la société UMS,ont subi des mauvaises conditions de vie et plusieurs d'entreeux ont été abandonnés par leursfemmes.
MOUSSA IMPERIAL +224624006143
Dotée d’appareils de dernière génération et plus de 300 employés composés de militaires, des civils, des handicapés et des sourds muets, la présente usine, selon le ministre d’État à la défense nationale, est à mesure de confectionner jusqu’à 500 tenues par jour. « L’initiative vise non seulement à créer de l’emploi, mais aussi et surtout économiser le budget alloué pour l’achat des tenues militaires. L’avantage de cette usine est à la portée de toutes les structures et les entités publiques et privées… » a précisé le général à la retraite, Aboubacar Sidiki Camara. Les infrastructures inaugurées pour la circonstance sont : l’Usine de confection de tenues militaires ; le Centre de Néphrologie Hémodialyse et un espace d’exposition des corps sans oublier la rénovation de l’hôpital militaires du camp Samori récemment inauguré par le Président de la transition, colonel Mamadi Doumbouya. 《 L’appel que nous lançons, ce que cette usine appartient au peuple de Guinée. Les jeunes qui sont
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